Vélibre

Vélo. Libre. Vélibre.

Catégorie : Voyage

  • FAAS #5 : Adieu Konstanz!

    Ce pourrait être le titre d’une chanson d’amour! Mais non, c’est mon dernier jour sur Bodensee. Je quitte le lac pour suivre maintenant le Rhin, et fermer ma boucle.

    Avant de quitter Konstanz, je pars faire un tour de l’île de Reichenau. Une belle ballade 30km, sur une île paisible. Rien à voir de particulier mais agréable.

    Retour à Konstanz. Cette ville est très sympa. Très bourgeoise, apparemment les suisses y viennent y faire leur courses, car cette ville est en Allemagne donc moins chère. De beau bâtiments, peu de voitures. Je ne sais pas ce qui est le mieux la vieille ville ou les faubourgs. Les deux sont à faire. Bien sûr la statue Imperia sur le port. Je vous conseille de lire l’histoire de la ville, le grand schisme, etc. Il y a eu d’autres périodes aussi tourmentées que la nôtre! En tous cas cette ville est très agréable. Aucun stress, du monde mais pas trop. Beaucoup de magasin (trop?). Mais un bon mélange de rues de toutes tailles.

    Déjeuner d’une salade Bodensee, avec du poisson du lac. Très bien. Ici on peut laisser son vélo sans crainte du vol, vu le nombre, ça ne risque pas grand chose. Départ de Konstanz. Je quitte tranquillement le lac, passe de petits villages, entre voie ferrée et lac. Même les trains sont peu bruyants ici!

    Puis j’arrive assez vite sur le Rhin. Magnifique, ça va être bien. Malheureusement, je dois assez vite sortir des berges pour rejoindre mon hôtel. Du coup je ne verrai pas les chutes. Rageant!

    Il fait très chaud. Je m’arrête plusieurs fois, doit mettre la casquette pour la première fois. Aussi, je bois deux litres d’eau en 4 heures. Les derniers kilomètres sont parcourus au coucher du soleil, au milieu des champs. Ciel superbe aussi. Une très belle journée!

  • FAAS #4 : Konstanz

    C’est le moment d’entamer le retour. Ma boucle va maintenant longer la rive septentrionale de Bodensee, en direction de Konstanz, où je m’arrêterai ce soir.

    S’il existe des allemands ou autrichiens stressés et agressifs, je n’en ai pas rencontrés. Peut être sont ils en vacances ailleurs, ou réfugiés à Paris, mais que la vie a l’air calme ici.

    Départ tardif aujourd’hui vers 11:45. Après un petit tour dans la ville, au bord du lac (aperçu un zeppelin !), je démarre ma route.

    La météo annonce un temps très chaud, autour de 31 degrés jusqu’à dimanche. J’ai choisi la bonne fenêtre météo.

    Arrêt pour déjeuner au bord de la route. L’étape est courte aujourd’hui, donc je prends mon temps.

    Pas une grosse forme aujourd’hui. Sûrement le fait d’avoir atteint Bregenz, mon objectif de départ. Mais maintenant m’attend Konstanz, le Rhin, Basel, pas mal de choses encore. Et puis bizarrement, depuis que je suis passé en suisse, c’est moins sympa. Les pistes cyclables sont moins bien, plus compliquees. Je me suis retrouvé en Suisse sans m’en apercevoir, sûrement quand j’ai traversé la voie de chemin de fer.

    Enfin c’est aussi jour de baignade. La mer est à 20 degrés apparement. Un peu froide pour rentrer mais ça va.

    Départ pour Konstanz. Difficile de quitter la plage.

    Arrivée à Konstanz. Grosse ville, ancienne. A l’air sympa, à voir demain.

  • Un an de voyage à vélo

    Il y a à peu près un an, je me suis mis au vélo en voyage. Le confinement m’a empêché de le faire plus tôt, et c’est véritablement en juillet que j’ai fait mon premier voyage, 4 jours, autour de Paris.

    Et puis j’ai continué en Normandie, mais ai été bloqué dans mon élan par la chaleur et cette fameuSe patte de dérailleur cassée à Dunkerque le premier jour de mon voyage en août.

    J’ai fait sûrement mon plus beau voyage à ce jour en suivant la Méditerranée, de Banyuls à Menton, parti le lendemain de Noël, pendant onze jours. pourquoi le plus beau? C’était le plus long, c’était en bord de mer, c’était l’hiver, c’était une petite aventure. Il y avait ma famille à l’arrivée et c’était agréable d’être attendu. Il y avait de l’émotion. C’était aussi un peu épique de joindre les deux frontières. Et puis les étapes étaient formidables. Toutes.

    J’ai exploré ensuite les environs d’Aix en Provence. Magnifique région, où j’ai pu faire un petit tour du Lubéron sur trois jours et un aller retour dans les gorges du Verdun en deux jours.

    J’ai ensuite fais un voyage plus long, en Auvergne et dans le Périgord. 10 jours à peu près, météo maussade dans l’ensemble, mais parcours en Auvergne, ma région, inoubliable. Difficile, des cols à 1500m, mais c’est ce que je voulais.

    Enfin je suis parti au mont saint Michel pendant 5 jours. Cette fois ci avec un ami. Expérience forcément différente et bien sympathique comparée au voyage seul que j’avais pratiqué jusqu’à présent.

    Pourquoi je fais du vélo de voyage? Parce que ça me nourri. C’est difficilement explicable avec des mots, mais les émotions sont nombreuses et intenses. La découverte de l’inconnu, la découverte de soi, la nature omniprésente. Les images, les odeurs. La liberté surtout. Et comme je dit souvent, le voyage en vélo, c’est en décapotable. Mais c’est ça, ça me nourri, au sens propre du terme. Lors de mon voyage en Méditerranée, les restaurant étaient fermés, et ce n’était pas si facile de trouver à manger. Parfois j’ai du sauter des repas. Jamais je n’ai eu faim. Ça m’a étonné. Certes je ne suis pas un athlète, j’ai des réserves, mais quand même, après 90km de vélo chaque jour, j’aurais dû avoir faim. Et bien, pas tant que ça. Ce que je traversais me nourrissait, je l’ai découvert alors.

    En ce moment, je fais mon premier voyage à l’étranger. En Europe, Allemagne, Autriche, et Suisse bientôt. Et c’est magnifique. Je vois d’autres cultures, d’autres pratiques, sans parler des paysages. Le voyage en vélo, c’est sûrement ce que j’ai fais de plus intense depuis ma randonnée dans les Pyrénées (un tiers du GR10).

    Qu’est ce qui est mieux entre la randonnée à pied et la randonnée à vélo? Bonne question. C’est différent. L’avantage que je vois à vélo, c’est la vitesse. Le vélo est pour moi le meilleur moyen de transport en Europe. Il permet d’aller suffisamment vite pour explorer. On peut s’arrêter quand on veut, mais si on veut traverser rapidement une zone sans intérêt, ça va vite. On va à 20km/h à peu près, c’est à dire qu’on couvre une distance importante en très peu de temps comparé à la marche.

    Après tous ces voyages, je dois avouer que j’ai éprouver un peu de lassitude. Et puis en regardant la carte, en regardant des récits de voyage, j’ai prévu ce présent voyage. Il est un peu nouveau car j’ai prévu tous les hébergements à l’avance. Donc je voyage plus léger, sans tente et duvet,… Aussi, j’ai prévu une étape à Bregenz pour aller voir un opéra, où est construite apparemment, l’été, une scène sur le lac. Ils vont jouer Rigoletto de Verdi. C’est amusant pour moi, aller à l’opéra en vélo, en Autriche. Il faut des projets. A notre époque, c’est vital. Des projets enrichissants. Il y a urgence.

  • FAAS #3 : Bodensee

    La nuit à Singen était tranquille. petite ville sans grand intérêt, mais l’auberge de jeunesse était sympa.

    Voilà, après la traversée de Schwarzwald, ce ne va être que du plat autour de Bodensee. Départ sans intérêt, si ce n’est les pistes cyclables. Je me répète, mais ici c’est vraiment agréable de faire du vélo. Rien à voir avec la France. Ici les pistes cyclables sont complètement séparées des routes, elles sont larges et il y en a partout. Et au carrefour, les voitures s’arrêtent pour laisser passer les vélos! Alors bien sûr il y en a beaucoup plus. Ou bien c’est l’inverse?

    J’arrive à Bodensee, à Ludwigshafen. Ambiance vacances, familles. Je ne peux m’empêcher de manger une petite salade au bord du lac.

    Ludwigshafen

    Puis c’est une longue ballade le long du lac. Traversée de villages et stations balnéaires. Uberlingen est sûrement la plus notable. Puis Friedrichshafen, et son célèbre jet d’eau. Peut être la plus grosse ville du lac. Ville industrielle aussi. Enfin Lindau, très cossue.

    Il n’y a pas grand chose à raconter. Ballade très agréable le long du lac, les familles en quête de baignade, la douceur de vivre, les vélos omniprésents, les voyageurs comme les gens en ballade, les odeurs.

    Me voici arrivé en Autriche, et au terme de ma boucle, à Bregenz.

    Première fois que je vais en Autriche, jamais je n’avais imaginé y aller en vélo.

    Mon plan initial était de faire le tour du lac de Konstanz, puis de revenir par le Rhin. Mais j’ai découvert que Bregenz était le lieu d’un festival l’été, le Bregenzer Festspiele, où ils construisent une scène d’opéra sur le lac, chaque été. Apparemment , une acoustique a aussi été spécialement développée pour ce lieu. Les images visionnées m’ont convaincu et j’ai pris une place pour ce soir, pour voir Rigoletto de Verdi qui est donné cette année.

    Arrivée vers 17:30, ce qui me laisse parfaitement le temps de me préparer pour le spectacle à 21h, et surtout dîner car j’ai quand même un peu faim après une centaine de kilomètres!

    La soirée fut excellente. En fait la scène était complètement articulée. Le personnage en particulier, avait les yeux et la bouche animés, avec de belles expressions obtenues avec si peu de mouvement. Vraiment impressionnant. Une des mains, animée elle aussi, jouait aussi un rôle important dans la scénographie. Les solistes étaient très bons, et étaient de vrais acteurs voire des acrobates. Et l’acoustique était vraiment excellente, alors que la scène était assez éloignée du public. On parvenait parfaitement à discerner l’origine des voix des solistes. Peut être la fin manquait elle un peu d’inspiration, mais Gilda montait au ciel à la fin, en ballon.

    https://videopress.com/v/dEqASPZQ?resizeToParent=true&preloadContent=metadata

    Très belle soirée après une très belle journée!

  • FAAS #2: sortie de Schwarzwald

    Bien dormi dans cet hôtel, bien que réveillé plusieurs fois. Petit déjeuner copieux, rangement des affaires, pansement sur l’ampoule, puis départ. Grand beau.

    Je démarre sur le Schwarzwald Radweg, mais très vite je prend un chemin. 15 bornes dans la forêt, génial. Le chemin est très roulant donc pas de problème avec mes pneus de 25. Légère descente, ça me change.

    Arrivée à Bräunlingen, petit village ensommeillé. Ma première Weißbier et mon premier doner. Ce ne sera pas le dernier je pense. Ni ma dernière.

    Marrant, un couple d‘allemands font un pari à propos de mon vélo. Est ce un e-bike? La femme se rapproche de moi pour me demander. A ma réponse, le mari fait « Ya! »! Ils continuent de discuter, mon vélo semble les intéresser (j’entends fahrrad plusieurs fois).

    En dehors des grosses villes, le vélo électrique est présent à plus de 90%

    Je redémarre et tombe très vite sur des panneaux Donauradweg. Une petite rivière passe à côté du chemin. C’est le Danube. Je n’y crois pas. Ce petit machin marronasse, le beau Danube Bleu?

    Le Danube

    Et le fait est là. Je prends cette piste cyclable, qui traverse le plateau de la forêt noire, zigzague dans les champs. Très très agréable. Et bien sûr réservé au vélo.

    Je croise le Danube une autre fois, et il s’est un peu embelli.

    https://videopress.com/v/nHpgaLdL?resizeToParent=true&preloadContent=metadata

    Je dois quitter cette route pour passer la dernière crête de Schwarzwald. Une dernière bosse avant de plonger vers le lac de Konstanz. Pas très longue, 1km, mais assez raide : 14%. J’y vais très lentement car mon ampoule me fait un peu souffrir quand je marche. Je me fait doubler par un vélo électrique. Je pense que beaucoup d’allemands ont remplacé la voiture par le e-bike.

    Au sommet je peux apercevoir le lac au loin, malgré la brume en ce milieu d’après midi. Et puis je plonge. Longue descente pour arriver à Singen (de bon augure pour demain!). Ville sans intérêt où j’ai trouvé une auberge de jeunesse. Petite étape finalement, 70km. Arrivée à 17h, c’est tôt! Et c’est bien.

    Le lac de Konstanz au loin (ou Bodensee)

  • FAAS #1

    Freiburg

    J’adore Colmar. La preuve. J’ai eu du mal à quitter Colmar, mon gps se mélangeant les crayons entre l’aller et le retour. Passé trois fois la rivière Thur, la deuxième je me suis dit, dis donc, elle fait de drôle de lacets cette rivière! Puis le paysage m’a paru familier, jusqu’à ce que je croise un panneau d’entrée dans Colmar. Demi tour. Traversée de la campagne alsacienne, des champs de mais (qui me protègent du vent), arrivée à la citadelle de Vauban de Neuf-Brisach, et ses épaisses murailles. Grand sentiment de liberté bien sûr, de retour, d’aller dans des endroits que je ne connais pas du tout. Ni même la langue cette fois ci. Et avec si peu de choses avec moi. Le côté essentiel de la vie. J’adore.

    Puis arrivée sur le Rhin, das Rhein! Les pistes cyclables sont vraiment top depuis que j’ai quitté Colmar, et elle s’améliorent encore en Allemagne. Escalade d’une petite butte, traversée des vignobles, puis descente sur Freiburg. Ce sera la plus grosse ville que je vais traverser en Allemagne.

    Des vélos partout, et surtout électriques. Je me sens dans mon élément. Croisé même deux vélos avec remorque pour les enfants.

    Ça fait bien longtemps que je ne suis pas venu en Allemagne. Toujours aussi exotique pour moi. Freiburg est une ville très calme, comme beaucoup de villes allemandes. Pas désagréable. Arrivée par la rivière Dreisam jusqu’au centre en piste cyclable. Très très cool. déjeuner sur la Munsterplatz bien entendu, à côté de la cathédrale. C’est le moment de ressortir les trois mots d’allemand qu’il me reste. Ça peine à venir. Ce sera une Wurstsalat mit Bratkartoffel, und ein Glass Freiburger Wein. Bitte. Très bon vin blanc du coin.

    – Kann ich bitte die Rechnung haben?

    – Natürlich.

    Je sors ma carte bleue et la fille me sort évidemment une phrase que je ne comprends pas. Enfin si, je comprends que pour la carte, il faut aller payer à l’intérieur. Magique. Elle ajoute une phrase que je ne comprends pas non plus. Serait-ce que leur terminal de paiement n’est pas sans fil? Allez savoir.

    Schwarzwald

    Je quitte Fribourg tranquillement pour rejoindre la rivière. Toujours de magnifique pistes cyclables. Le pays des Radweg. L‘inclinaison augmente très progressivement à l’approche de la forêt noire. Un petit arrêt à Kirchzarten et j’attaque la montée, pour aller à Titisee (le lac de Titi, c’est mon lac, quoi).

    La pente moyenne jusqu’au sommet a 1200m est de 10%. Normalement je ne passe pas. Mais bon on va essayer. Un dernier arrêt alors que la pente s’élève franchement, un petit ravitaillement et c’est parti,… et ça passe! C’est dur, mai ça va. Tout à gauche bien sûr. je dois être le seul en vélo musculaire. Tout les allemands sont en velo électriques. Comme c’est la fin de la journée, je les croise, mais quelque uns me double dans la montée, sans problème. Même avec un petite sourire.

    Au passage d’un couple, je fais une embardée, et ma roue avant manque de tomber à droite, m’emmenant dans le ravin. J’arrive à redresser, mais alors tombe de l’autre côté sur la route, ne pouvant retenir le poids du vélo. Chute à l’arrêt quasiment. Pas évident de se relever dans la pente. Petite analyse, le bonhomme n’a rien, le vélo non plus. Mais pour le reste de la montée, c’est cuit ce sera à pied. 5km, 500m de dénivelé. Je vais arriver plus tard que prévu. Enfin il fait beau, la route est réservée aux vélo, et cette forêt n’est pas si noire, plutôt de beaux verts.

    J’arrive au sommet enfin, avec une ampoule au talon. Paysage magnifique. La descente est magnifique aussi.

    Je suis déjà bien cramé, faut dire que j’ai voulu regarder le marathon des jeux de Tokyo, et la victoire de Kipchoge, plus le lever pour prendre le train, ça fait maximum 3h de sommeil. Très très peu. Il y a 19km jusqu’à Neustadt Titisee, puis 11km de montée jusqu’à Eisenbach. En bas de la descente je m’arrête pour prendre une sorte de planche charcuterie œuf au plat, une bière. Le soleil ce couche, c’est magnifique encore. La montée se fera finalement pas si mal. J’arrive alors que la nuit tombe. Une longue étape.

    https://videopress.com/v/jNkOjQYr?resizeToParent=true&preloadContent=metadata
    Panorama sur Swarzwald
  • FAAS: Départ

    Nouveau voyage, cette fois-ci direction l’est. Premier voyage à vélo hors de France aussi. Et même je vais passer par quatre pays, excusez du peu! France, Allemagne, Autriche et Suisse. Le tout en un peu plus de 550km, en faisant une boucle à partir de Colmar. Et oui, on peut faire 250km à partir de Colmar et se retrouver en Autriche. Qui l’eut cru?

    C’est un nouveau type de voyage aussi, sans camping. Je voulais partir plus léger, donc j’ai réservé tous mes hébergements à l’avance. Bien longtemps que je n’avait pas fait ça, et jamais en itinérance. Donc obligation d’arriver à l’hébergement le soir, et donc de respecter les distances prévues. Un peu de contraintes pour gagner un peu de poids. Et puis c’est les vacances, je suis là pour kiffer!

    Je roule aussi avec mes roues de route et mes pneus de 25. Gain de poids aussi. J’avais tellement apprécié mon week end dans le Verdon, équipé pareil, même encore plus léger, que j’ai voulu recommencer. Il faut dire que la première étape est costaud car je grimpe tout droit dans la forêt noire, Die Schwarz Wald. Brrrr!

    La grande inconnue, c’est la météo. J’ai complètement changé de plan à cause d’elle, et me suis écarté à l’Est pour éviter les dépressions qui menacent cette été. Est ce que ça va suffire?

  • La Véloscénie, deuxième partie.

    Il manquait quelque chose à mon récit: la fin. Eh bien oui nous sommes arrivés au Mont saint Michel. Sans encombre en suivant la Véloscénie et son long chemin de fer transformé en véloroute.

    Nous avons même visiter le site deux fois. Une fois pour le village et une deuxième fois pour la basilique.

    Il y avait plus de monde que l’année dernière, mais ça allait. Quelque touristes seulement. Le temps s’est gâté sur la fin, mais nous avons roulé sans pluie je, c’est seulement le dernier jour que nous avons eu un peu de pluie.

    Que retenir de cette Véloscénie? De bons moment avec Pascal, avec qui je faisais mon premier voyage, et mon premier voyage en vélo.

    Aussi, que les voies vertes peuvent être ennuyeuses. Mais que les arrêts chez des amis sont super agréables. arriver en vélo chez quelqu’un est une expérience nouvelle, et j’ai apprécié.